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« Au ras des pavés »

 

Ce vendredi 17 mai, le Café Photo a participé à l’ouverture de La Nuit Des Arts avec son exposition « Au ras des pavés ». Le but était d’exposer des photos des adhérents, inspirés par ce thème et avec la volonté de représenter les différentes interprétations de chacun. Cette événement qui se déroule au restaurant « Il Bacaro » à reçu,  pendant deux jours, un franc succès dans une très bonne ambiance et sous le signe de la bonne humeur et du partage. 

 

Vous pouvez retrouver l’exposition « Au ras de pavés », toujours en place au Bacaro et qui sera amenée à évoluer jusqu’à cet été. 

 

Alors n’hésitez pas, venez découvrir et partager autour de ce thème qui en a inspiré plus d’un.  

The Soul of the Woods 

Retrouver l’âme des arbres et raconter leur histoire à travers la photographie et la musique, voilà ce qui a décidé Carl Cordonnier à démarrer son projet Soul of the Woods. De l’âme des arbre à l’âme du son, il n’y a qu’un pas que franchissent allègrement Carl Cordonnier et Anthony Glise, le compositeur/guitariste auquel il a fait appel pour cheminer avec lui sur la route de la résonance secrète entre le bois et les sons. Ce projet original se décline en plusieurs étapes visuelles et sonores proposées avec cette installation au Jardin Mosaïc imaginée par le plasticien Vincent Vallois où le visiteur est invité à entrer littéralement dans la structure d’une guitare contenant un dispositif photographique basé sur le principe de la Caméra Obscura.

Froiçoise Objois - Journaliste 

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Envoyez votre nom à Carl Cordonnier à cette adresse : dailylife@orange.fr pour bénéficier d’une entrée gratuite pour venir découvrir l’installation photographique et sonore Soul of the Woods au Jardin Mosaïc, au 103 Rue Guy Môquet, 59263 Houplin-Ancoisne, à partir de ce Dimanche 19 mai à 15h. 

Visite au CRP à Douchy-les-Mines 

Découverte ce samedi 11 mai du CRP/ Centre régional de la photographie à Douchy-les-Mines. Merci pour l'accueil, la visite commentée par Manon de l'expo de Geof Oppenheimer. Nous avons pu faire un tour dans le super laboratoire argentique (accessible aux adhérents du CRP) et, à l'étage, au très riche fonds documentaire. De quoi donner l'envie de s'y installer toute une journée pour fouiller dans leur mine d'or de livres photos !  Chouette après midi 😊!

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Arthy Mad - SOLO

Le photographe plasticien Arthy Mad nous parle de sa nouvelle série SOLO, une incitation à l’introspection avec le thème de la solitude. 

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Arthy Mad participe au festival l'Emoi Photographique qui a débuté le 30 mars et se termine le 5 mai.

Cet évènement représente 28 expositions dans 12 lieux dont l'Hôtel Saint Simon, un superbe bâtiment du 15ème arrondissement, lieu principal dans lequel il à eu la chance d'avoir pu installer l'univers  de son exposition intitulée SOLO.

Avec une fréquentation moyenne de 60 à 80 personnes par jour du lundi au dimanche, le photographe prend beaucoup de plaisir à échanger avec les visiteurs. 

Arthy a voulu épurer ses images le plus possible de façon à ce que chacune et chacun puisse y prendre sa place et y projeter sa propre histoire.

En plus de la photographie Arthy Mad travaille également avec une classe de 5ème sur le thème "rendre visible l'invisible", prévu sur 4 demi journées et avec au final une production d'image pour chaque élèves sur ce thème.

Conjointement il a poursuivi son expérimentation du Street Collage avec 2 personnages tiré de son exposition SOLO, à laquelle il prend gout notamment par les retours assez encourageants qui lui sont parvenus.

Arthy Mad poursuit donc sont activités et d'après lui, même si il est trop tôt pour en parler, de nouveaux projets tendent à voir le jour !

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Carl Cordonnier

The Soul of the Woods 

Carl Cordonnier présentera ses photos tirées de la série "The Soul of the Woods" dans une installation au Jardin Mosaïc, du 19 mai au 4 novembre dans la cadre d’Eldorado. Le vernissage aura lieu le 19 mai à 15h.

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Il y a bien longtemps, les hommes fascinés par les arbres les considéraient comme des dieux. Il y a eut l’arbre sacré des celtes, des germains, des chamanes, des bouddhistes, des hindouistes, des Mayas, des Shintoïstes, des amérindiens, des africains… tous les peuples du monde ont un jour ou l’autre vénéré les arbres et lui ont attribué des propriétés magiques. Nombreux sont les mythes liés à l’arbre qui chez les juifs et les chrétiens symbolise la vie. 
Aujourd’hui dans les rues et les parcs des grandes villes, l’arbre est parfois le seul lien avec la nature qui reste au citadin pour se connecter à ses origines. 
La musique et les arbres ont un point commun. Tous les deux relient les hommes au ciel. 
Et voici que le bois des arbres donne naissance depuis la nuit des temps aux instruments de musique que les hommes ont inventés pour se connecter avec la beauté du monde. 
Voilà une belle coïncidence que Carl Cordonnier et Anthony Glise explorent à travers le projet Soul of the Woods. 
Retrouver l’âme des arbres et raconter leur histoire à travers la photographie et la musique, voilà ce qui a décidé Carl Cordonnier à démarrer son projet Soul of the Woods 
De l’âme des arbres à l’âme du son, il n’y a qu’un pas que franchissent allégrement Carl Cordonnier et Anthony Glise, le compositeur/guitariste auquel il a fait appel pour cheminer avec lui sur la route de la résonance secrète entre le bois et les sons. 
Ce projet original se décline en plusieurs étapes visuelles et sonores qui déboucheront sur une installation au Jardin Mosaïc (Houplin Ancoisne) imaginée avec le plasticien Vincent Vallois où le visiteur sera invité à entrer littéralement dans la structure d’une guitare contenant un dispositif photographique basé sur le principe de la Camera Obscura. Environné par la musique d’Anthony Glise, il voyagera au cœur de la vie intérieure des arbres et suivra les différentes transformations qui, à partir d’un arbre choisi spécialement pour ses qualités acoustiques, donneront naissance à un instrument de musique qui vibrera sous les doigts du musicien. Ultime évolution de ce rapport homme/arbre, la lutherie est la meilleure façon de rendre hommage à la nature. 
                                                                                       Françoise Objois Journaliste


 

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Notre invité du 28 mars

Patrice Deregnaucourt 

Patrice Deregnaucourt, un invité qu'on aime beaucoup !

Photographe de talent qui a, longtemps, pratiqué ce qu'il appelle la "chasse photographique" dans la rue. Depuis, la maladie a limité ses déplacements mais Patrice n'a pas lâché sa passion et c'est désormais un délicat univers de natures mortes qu'il invente. Il viendra nous en parler, ainsi que de son parcours si particulier.

De la rue à la chambre, itinéraire d’une passion intacte

 Il y a chasseur et chasseur. Patrice Deregnaucourt a la mine gourmande quand il raconte ses années de photos de rue et il le dit très simplement, il s’agissait bien de « chasse photographique », celle qui vous vient et ne vous lâche pas, celle qui vous permet de savoir que vous avez fait la bonne photo. Enfin, peut-être. Et même sûrement. Même du temps de l’argentique, quand il fallait attendre d’avoir développé son film pour en être certain, Patrice Deregnaucourt se trompait rarement. « Je me dépêchais de finir mon film vite fait, j’avais du mal à attendre quand je pensais avoir la bonne photo ». Pour pratiquer cette fameuse chasse, cet autodidacte absolu était en veille permanente. Représentant en produits chimiques, Patrice était souvent sur les routes. Et sous sa veste, toujours son appareil, la plupart du temps un Leica, pratique parce que petit, qui lui permettait de pas rater la photo qu’il voulait. « Il ne faut jamais attendre quand tu penses avoir la bonne photo. Si tu ne la fais pas tout de suite, tu ne pourras jamais la refaire ». C’est comme cela qu’il lui est arrivé de surprendre son patron avec lequel il était en tournée sur la route. Une silhouette de femme aperçue dans une cabine téléphonique et le voilà qui s’arrête sur le bord de la route, laisse le patron stupéfait dans la voiture, descend, appuie sur le déclencheur et remonte, comme ça, l’air de rien, content et on pourrait même dire heureux. 

D’étonnantes règles géométriques

 Patrice Deregnaucourt photographie depuis ses 20 ans mais son éblouissement remonte encore à plus loin. Il avait dans les 12-13 ans, c’était en colonie de vacances. « J’ai appris à tirer une photo. Quand je l’ai vu apparaître, c’était…. » C’était tellement bien qu’il n’a que des points de suspension pour en parler aujourd’hui. Alors, pendant des années, il a photographié. Des scènes de rue, surtout, en grand admirateur de Cartier-Bresson. « J’ai tous ses livres dans ma bibliothèque. Il ne s’agit évidemment pas de copier ses photos mais j’ai tellement appris en regardant ses photos ». Les siennes obéissent à d’étonnantes règles géométriques, parfaitement repérées avant de déclencher. « Je fais en sorte qu’en regardant la photo, tu ne puisses pas te sauver » sourit-il malicieusement. Et, de fait…. Et puis, aussi, « ton appareil doit être continuellement prêt », merci l’hyper-focale qui lui a permis de réussir tant de photos immédiatement captées. 

« Je ne veux jamais me moquer des gens »

 Patrice Deregnaucourt est un inconditionnel du 50 mm, l’optique la plus proche de l’œil humain, pour lui. Et, surtout, il ne recadre jamais ses photos. Cela rend encore plus admiratif quand on sait cela ! Il a aussi, chez lui, un immense respect de ses sujets. « Je ne veux jamais me moquer des gens » assure cet homme sensible que la maladie a obligé à revoir sa manière de travailler. Difficile pour lui, aujourd’hui, de se déplacer, alors Patrice Deregnaucourt a créé un nouvel univers dans une de ses chambres. Un tissu noir sur sa commode, une bonne maîtrise de photoshop, des objets anciens achetés sur Ebay ou empruntés et voilà un nouvel univers de délicates natures mortes qui se dessine. C’est touchant et ça nous parle, forcément car ces objets font partie de notre imaginaire à tous. Il joue avec la lumière naturelle en montant ou baissant le volet de sa fenêtre, ajoute parfois un objet à son installation grâce au logiciel qu’il a appris seul à maîtriser et le tour est joué. Un joli tour et une manière de faire un pied de nez à la maladie en continuant, envers et contre tout, sa chasse photographique. Autrement, mais sûrement. 

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 Chaque adhérent s'engage à fournir 1 image qui deviendra la carte d'adhésion d'un autre adhérent ! De quoi devenir des collectors et pourquoi pas en faire une expo-performance ou une mini édition ? Tout est permis ! 

Le 21 février 

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